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lieux communs (et autres fadaises)

11 septembre 2005

chant d'automne

Enfin!
Il pleut, pas un pét' de soleil, nuages bas, herbe humide, flaques, feuilles mortes qui vont bientôt commencer à se décomposer... ON Y EST ! Dans 10 jours l'été sera ter-mi-né! Out! Aujourd'hui, on sait déjà à quoi ça va ressembler, un temps de Toussaint...

Place aux poaîtes :
"Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres
Adieu vive clarté de nos étés trop courts"

(Charles Baudelaire)
"Il pleut, le monde a une odeur de désespoir, même les sucreries ont l'amertume de l'absinthe "
(Charlie Brown) ... Qui qui n'a inspiré qui, hein ???

Enfin, un dimanche après-midi style à boire de la tisane tiède en écoutant Erik Satie tout en regardant la pluie dégouliner le long des carreaux... Ca fait du bien de se réhabituer au mouillé au morose au grisâtre et au dégoulinant... Savez quoi ? C'est bientôt l'hiver!

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11 septembre 2005

films sublimes

(en rangeant un peu l'étagère des dvd...)

- AU FIL DU TEMPS (Wim Wenders)
- AFTER LIFE (Kore Eda)
- BAROCCO (André Téchiné)
- CABARET (Bob Fosse)
- CELINE ET JULIE VONT EN BATEAU (Jacques Rivette)
- CERTAINS L'AIMENT CHAUD (Billy Wilder)
- CRIA CUERVOS (Carlos Saura)
- DEAD MAN (Jim Jarmusch)
- FARGO (Coen Brothers)
- GHOST DOG (Jim Jarmusch)
- GOODBYE DRAGON INN (Tsai Ming Liang)
- ERASERHEAD (David Lynch)
- KEN PARK (Larry Clark)
- L'AMI AMERICAIN (Wim Wenders)
- LA FELINE (Jacques Tourneur)
- LA FLEUR DE MON SECRET (Pedro Almodovar)
- LA NUIT DE SAN LORENZO (Taviani Brothers)
- LA VIE EST BELLE (Franck Capra)
- LE FABULEUX DESTIN D'AMELIE POULAIN (J-P Jeunet)
- LE SONGE DE LA LUMIERE (Victor Erice)
- LES MILLE ET UNE NUITS (Pier Paolo Pasolini)
- LOST HIGHWAY (David Lynch)
- MILAGRO (Robert Redford)
- NIGHT OF THE DEMON (Jacques Tourneur)
- SHORT CUTS (Robert Altman)
- STRANGER THAN PARADISE (Jim Jarmusch)
- THE FISHER KING (Terry Gilliam)
- THE HOURS (Stephen Daldry)
- TOOTSIE (Sydney Pollack)
- UN JOUR SANS FIN (Harold Ramis)
- URGA (Nikita Mikhalkov)
- YIYI (Edward Yang)

question : films effectivement sublimes ou films que la mémoire sublime ?

10 septembre 2005

karma

Y a pas à tortiller, il va bien me falloir  le réécrire, ce message vanished (que'est-ce que j'aime ce mot!), qui n'a pas arrêter de me gigoter dans la tête, pendant que je regardais Eros (***) dans le böôô cinéma.

En début d'après-midi, en sortant du Super U, (non, non, je n'ai rien senti, j'ai juste ressenti !) avec, mon sac plastoche à la main, j'allais vers ma voiture en me disant que c'était tout de même rudement bien de ne pas avoir à me presser, tout ça grâce à mon statut social dit de célibataire. Oui, pas besoin de speeder, personne n'attend, pas d'horaire à respecter, pas de comptes à rendre, pas de réponses à donner, pas de remarques à écouter...

Bienheureux comme Alexandre, (comment disait Ferré ? ah oui "et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard") seul tranquillement donc, fils de personne (j'ai été orphelin très tôt) et père de personne (là aussi, j'ai su très tôt que je ne le serais pas).
Arrêt sur ces deux mots : orphelin et célibataire : c'est sûr ils me définissent exactement, je ne peux pas le nier, mais, il y a des mots, comme ça, que j'ai du mal à utiliser, comme s'ils me faisaient sentir mauvais de la bouche, et ces deux-là je les trouve aussi datés et usés, que ma détestation serait forte d'être soupçonné de faire appel à la pitié (la votre) afin de mieux vous attendrir -entre Dickens et Zola disons- en les utilisant (voilà une phrase un peu obscure, mais je n'ai pas réussi à mieux faire... l'originale était ni-ckel, tant pis pour vous)

Si je croyais à la réincarnation, je me dirais bien que cette existence-là, je l'ai gagnée à la sueur de la précédente. Je suis sûr que la dernière fois (bad karma)  j'ai dû être une mère de famille nombreuse, avec une flopée d'enfants, le corps distendu par les grossesses successives, qui n'arrêtait pas du matin au soir et du sol au plafond, flanquée d'un époux acariâtre, buveur et coureur, et de tellement d'enfants tiens que je n'ai jamais pu me rappeler de tous leurs prénoms, et peut-être même que je suis morte tuberculeuse, tiens, parce qu'en plus il avait bu l'argent qui aurait permis de payer le médecin, et, à ce moment-là, (choeurs célestes en fond sonore) une voix, là-haut, a dû me sussurer à l'oreille "Ta prochaine vie, tu vas voir, ça va être délicieux comme des vacances, tu l'as bien mérité(e), Georgette..."

Donc, inutile de me regarder avec des yeux envieux : elle à moi cette vie-là, oui oui j'en revendique la paternité! (euh qu'est-ce que je raconte moi...)

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10 septembre 2005

vanished!

Je suis un peu très énervé. Je viens de passer un certain temps à rédiger un message, délicieux spirituel, et tout et tout, j'avais même pris soin d'ajouter une jôôôlie photo, et j'ai dû croire que je l'enregistrais, parce qu'il a disparu. Quand j'ai fait entrée, plus rien! Hop! comme ça! evanoui! effacé! reparti dans le néant ! j'en conçois donc un désappointement certain. J'essaierai de le faire ressurgir des limbes de ma mémoire ce soir si j'ai le temps et si je suis d'humeur... Grrr!

9 septembre 2005

o superman

Hmmm ce soir , me voilà tout rêveur mélancolique alangui sourire béat chocolat sweet'n'sour doux oiseau de jeunesse et compagnie...
Je viens de recevoir via airmail and from the states une petite enveloppe matelassée contenant deux dvd (une compil d'apparitions télévisées 82/90 et un concert "Speed of darkness" de 98) de qui donc ? d'une personne qui compta beaucoup beaucoup pour moi, au temps de ma jeunesse folle (euh enfin, juste un peu après ? quoique... on est jeune à 30 ans , non ?) ; je veux parler de Laurie Anderson. (Si ce nom ne vous dit rien, je vous envie, il vous reste des merveilles à découvrir!)
Tout commence en ... 80 et quelques (?), quand je reçois une K7 audio d'un ami mulhousien un peu perdu de vue (en vrai, c'était mon premier amant!), je la mets en fond sonore plutôt agréable, et l'écoute un peu distraitement en (je m'en souviens parfaitement) faisant la vaisselle... Je ne me souviens plus des premières chansons, mais je sais que , juste après My sex (d'Ultravox) commença un machin bizarre, avec voix de synthèse répétant "ah ah ah ah", qui me fit illico lâcher mon torchon (ou mon éponge), pour aller écouter ça de plus près... C'était la première fois que j'entendais O Superman, et ça m'a aussitôt -comme on dit- scotché de chez scotché.
Dès que possible, j'ai acheté son premier album (un disque noir! un 33 tours! vous vous rappelez?), et ainsi commença une longue histoire de fascination respectueuse (peut-être un peu bavante, j'ai l'enthousiasme assez peu mesuré!), quasiment sans faillir pendant 20 ans! :

BIG SCIENCE (1982) *****
MISTER HEARTBREAK (1984) *****
UNITED STATES LIVE (4CD,1984) *****
HOME OF THE BRAVE (1986) ****
STRANGE ANGELS (1989) *****
BRIGHT RED (1994) *****
THE UGLY ONE WITH THE JEWELS AND OTHER STORIES (1995) Spoken works ***
TALK NORMAL (2CD, 2000) Greatest hits ****
LIFE ON A STRING (2001) ***
LIVE IN NEW-YORK (2002) ***

Car la dame trouve parfaitement sa place -et à plus d'un titre- dans cette catégorie "pluricul/multimed" : Violoniste de formation, performer, artiste multimédia, conteuse espiègle et ironique, chanteuse et musicienne, en plus de ses albums ci-dessus répertoriés, elle a réalisé un film (Home of the brave), plusieurs bouquins dont le monumental United States, et, à ma grande surprise, a même épousé... Lou Reed! Avec des chansons qui m'ont véritablement habité pendant très longtemps (jusqu'à maintenant!) :
O Superman , From the air, Walking and falling, Blue Lagoon, Smoke rings, Strange angels, Tightrope, Same time tomorrow, entre autres...
Voilà, dans les années 80 et quelques, je l'avais installée dans mon petit panthéon personnel, aux côtés de gens comme Duane Michals, Julio Cortazar, Georges Perec, Wim Wenders, Jim Jarmusch, Antoni Tapiès, Nicolas de Stael, Francis Ponge, ma dream team de l'époque, en quelque sorte...
O Supermen...

8 septembre 2005

sinistre ?

D'aucune(s) trouvèrent le panneau stop sur la photo de mon dernier message "sinistre" et me le firent d'ailleurs savoir (merci à elle)...
Réflexion faite, je confirme : je ne le trouve pas sinistre du tout, ce panneau. Pas joyeux, non, je ne peux pas dire (qui donc d'ailleurs se soucierait des états d'âme éventuels d'un panneau de signalisation ?) En photographie, hormis les manuels* (sujet déja que quelques fois ici j'effleurai...) j'ai une prédilection pour ce que je nomme les "natures mortes, mais mortes!" Des choses plus ou moins vieilles cassées, abîmées, laissées à l'abandon, oubliées... ce genre de choses qu'on trouve sur les accotements* , dans  les caves, les vide-greniers, voire dans les friches industrielles. Oui j'éprouve une grande tendresse pour tous ces laissés-pour-compte. M'intéresse la trace de l'humain, son résultat. Je ne photographie pas, en général, les objets neufs, ils ne présentent pour moi pas grand intérêt.
Par contre, tous les vieux machins, journaux déchirés, panneaux éraflés, paquets de cigarettes écrabouillés, affiches lacérées, murs taggés (gués?), bagnoles embouties, fenêtres borgnes, jouets hors d'usage, vêtements jetés ou perdus, toutes ces choses  me fascinent, et ce depuis longtemps. (Dès que j'aurai un scanner à diapos digne de ce nom, je pourrai remettre en circulation une série d'images prises il ya ...euh... longtemps, intitulée "hors-service"...)
Comme si l'usage de l'objet n'avait qu'une issue : sa mise au rebut.
Photographier ces "fins de course" n'est-ce pas (discours de café du commerce ?) leur offrir un peu d'éternité ?

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7 septembre 2005

silencio!

"You know what ? I'm The hero..." (Droopy)
Après l'apostrophe directe du lecteur (cf dimanche) j'ai tenté une nouvelle stratégie oblique d'approche : le silence. Bon, j'ai tenu deux jours...Je rêvais de pleureuses, de vêtements déchirés dans les affres du désespoir, d'un déluge de questions remplies de sollicitude, voire d'inquiétude, de rumeurs alarmées circulant sur tout le ouaibe : que nenni! point du tout! Tout le monde est resté coi. Style hareng de la baltique congelé dans un iceberg dérivant en plein détroit de Behring.
J'ai voulu faire le malin, en n'en parlant quasiment à personne, de ce blaugue (entre blague et glauque). Je voulais que mes amis le découvrent tout seuls comme des grands. (Mais comment peut-on chercher quelque chose dont on ne connaît pas l'existence ?) Rien. De rien. J'assume...

Comme d'hab, donc, aujourd'hui mercredi , retrouvé intact le plaisir dit "du mercredi". Un jour entier où l'on peut ne faire -en principe- que ce qu'on a envie de faire. Moi le mercredi matin, donc, à l'heure où d'aucuns iraient boire un petit noir en terrasse, j'aime bien aller acheter Libé et les Inrock', prendre la voiture et aller les lire, quelque part, au soleil. Ce "quelque part" est quelque peu pudique aussi, puisqu'il s'agit en réalité toujours des mêmes endroits (ceux qui me sont proches auront bien sûr deviné que ce n'est pas sans rapport avec aller aux mûres). Bref, j'aime bien aller traîner sur les parkings, pour... euh... rencontrer du monde (et aussi faire des photos). Le matin, c'est bien, on ne rencontre pas la faune d'habitués de l'après-midi ou du soir, c'est plus... calme, mais la fortune peut-en être d'autant meilleure ! Ce matin j'ai rencontré mon ami à la voiture rouge (dont je vous parlerai peut-être plus longuement une autre fois...) et j'ai eu le temps de lire deux fois les Inrock' avant qu'une autre rencontre (qui s'avéra hélas plutôt désappointante) ne se produise...
Cet après-midi je dois un peu travailler (professionnellement, à mon avenir et à mon oeuvre) mais comme il fait très soleil , il n'est pas exclus que j' y retourne  faire un tour...

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4 septembre 2005

sans retour

Comment je vais dire ça ?
Il ne faut pas que je sois trop gémissant, mais pas trop agressif non plus...
Voilà, je m'adresse à toi directement, à vous, ô lecteur/lectrice de ce blog : il y a des fois où vraiment je m'y sens (ici) un peu seul et désemparé. Je vais régulièreement voir en bas de chaque message, mais c'est toujours écrit commentaires (0).
Allez-y, n'ayez pas peur vous n'allez pas salir cet espace vierge ; non, n'ayez pas peur, je ne mords pas, vous pouvez me dire, réagir, m'envoyer juste un petit commentaire, rebondir, me relancer la balle. Si je ne fais que parler tout seul (ce qui m'arrive déjà de temps en temps dans la vraie vie) je crois que ça n'a pas vraiment de sens, c'est pas drôle, c'est dommage... finalement, tout ça, c'est quand même pour vous que je le fais!
J'attends de vos nouvelles
Keep in touch and all the best!

4 septembre 2005

livres qui disent que je

Sur le rayonnage du milieu de l'étagère du couloir (en face de la porte d'entrée), j'ai rangé  les livres "atypiques" (pas des romans, pas forcément des nouvelles, des petites formes en général) que j'aime particulèrement, et spécialement cette série, dont le père spirituel est bien Joe Brainard, et pas, comme on a pu le croire un peu hâtivement, Georges Perec. Livres basés sur le Je me souviens, voire le Je quelque chose d'autre :

I remember (Je me souviens) de Joe Brainard (le "fondateur")
Je me souviens de Georges Perec
Moi aussi je me souviens d'Eric Fottorino
Les choses communes de Nicolas Pages
Je me souviens de je me souviens de Roland Brasseur
Le verger d'Harry Matthews ("Je me souviens de Georges Perec...")

Autobiographie d'Edouard Levé
Le livre des regrets de Jacques Drillon ("Je regrette...")
J'aime pas de Macha Méril
Les amnésiques n'ont rien vécu d'inoubliable d'Hervé Le Tellier ("Je pense que...")
Ma voix basse de Régine Vandamme

to be continued...

3 septembre 2005

week-end

A peine  "c"'est commencé, que déjà on s'arrête! (et encore heureux!) La rentrée est "derrière" (je n'ai rien écrit hier, trop occupé, et trop fatigué hier soir pour... si si, vidé, lessivé éreinté, n'en déplaise aux esprits railleurs...), les vacances sont closed, et voici que déjà se dévident  les hectomètres du tapis rouge (ne soyons pas chiche!) de l'année à venir, ça zigzague ça sinue ça se déroule ça monte et ça descend et bien sûr on ne parvient pas à discerner plus loin que le premier repli (celui qui est en général juste au niveau de demain) bah c'est toujours comme ça, c'est toujours mieux comme ça...
Mais bon c'est pas si facile d'y retourner (au taf), surtout quand on n'est pas très motivé du tout (on l'a  d'ailleurs été, au fil des ans, comme c'est écrit sur la médaille d'amûr : aujourd'hui plus qu'hier et bien moins etc...)
Je relativise en me disant qu'il n'y en a, au pire, que pour trois semaines, puisqu'ensuite, à partir du 25 septembre, je pars en congé de formation, aux Bozarts de Bzançon, en "communication/graphisme" (terra très incognita, mais, n'anticipons pas, on en reparlera en temps zutile)
C'est donc à nouveau de la suite de micro-événements qui viennent broder/égayer/déchirer/abîmer/décorer -c'est selon- la trame quotidienne (tiens tiens je suis bien dans les métaphores textiles aujourd'hui) que je vais désormais parler. (Mais ai-je déjà fait autre chose, auparavant ?). Je suis simplement passé d'un état à un autre, consécutif, avant/après, même si les différences, si différences il y a, sont quasi imperceptibles , juste à usage personnel, pour que je m'y retrouve (ni tout à fait le même ni tout à fait un autre...)
Donc -en vrac- retrouver le plaisir du samedi après-midi vacant, celui, de tous les jours, de procrastiner,  les repas du vendredi midi  au F.J.T, avec certains maçons et autres pompiers, les dix minutes du café de dix heures, les heures supp' à taper des trucs et des machins sur l'ordi de la BCD, les délires et sourires et fous-rires avec les collègues (merci Catherine et Marie!), l'ouverture de la porte à 16h30 ("Pourquoi tu frottes tes mains ?" m'a un jour demandé  K.) les croissants du samedi matin, le Libé réservé chez le marchand de journaux, ...

Rajouter les plaisirs uniques ou imprévus : aujourd'hui, ce fut
*recevoir les photos du Portugal (et des manuels, aussi)
*les dispatcher dans 3 enveloppes pour les envoyer à qui de droit (celles du Portugal)
*réussir à m'avancer dans le boulot pour lundi
*recevoir un coup de fil d'Anne-Marie qui a l'air d'aller très bien *aller voir ZIM AND CO, de Pierre Jolivet, à la séance de 18h dans le bôôô cinéma (3 dans la salle) , le trouver très juste, attendrissant , ("Réussite épatante, car il s'en fallait de peu pour que ce film, qui tient du numéro d'équilibriste, bascule dans la démagogie. Et pourtant, petit miracle, Jolivet ne se préoccupe que de ses personnages, et surtout pas d'asséner un "discours" ; grâce à cette approche (ô combien vivifiante) et à un incomprable sens du rythme, le cinéaste signe une oeuvre générationnelle qui fera date. Chapeau bas aux jeunes comédiens, tous époustouflants de naturel." Positif)
* et last but not least
mettre une petite photo joyeuse pour clore cette chronique...

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