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lieux communs (et autres fadaises)

4 mars 2024

les diapos

 (fin de rêve)

Il se prépare une soirée, un spectacle, je ne sais pas quoi précisément... Pas mal de gens présentent un numéro (une intervention ? une performance ?) les uns après les autres
Et c'est moi qui dois commencer...
J'ai décidé de présenter un trucs avec des diapos (50 diapos) et des textes (50 textes), mais, évidemment, rien ne se passe comme il faut... Déjà j'ai beaucoup de  mal à retrouver "mes" diapos, pourtant rangées dans un panier, puis ce sont les textes que j'avais prévus pour accompagner chaque diapo que je n'arrive pas à retrouver (j'ai oublié de les prendre en partant et ils sont restés chez moi)
Nous sommes dans un bâtiment très long, immense, fait d'une succession de pièces, le temps passe, on a commencé à prendre du retard sur l'horaire, je décide que, tant pis, je vais y aller sans texte,, que j'improviserai au fur et à mesure, que ça va bien se passer...
Le projecteur à diapos est posé sur un truc à roulettes comme on en avait à la maternelle, en tubes métalliques, haut et assez lourd, et "on" (moi et la personne qui pousse le truc à roulettes, c'est une fille assez jeune) remonte donc tout le bâtiment, pièce après pièce, pour aller jusqu'à l'extérieur, où va se passer mon "intervention"
Dans une des pièces, notamment, en passant, on bouscule je ne sais pas quoi, et on fait tomber sur le sol des portions de vache qui rit...
Dans la pièce suivante, qui est entièrement vide, avec un (beau) plancher en acajou, qu'une femme est en train de nettoyer, je fais encore tomber par inadvertance quelques portions, et je me dis qu'il faut les ramasser tout de suite
Dans la dernière salle où on passe, un genre de gymnase, je vois les gens qui s'affairent à répéter leur numéro, beaucoup de monde, beaucoup d'agitation, j'aperçois notamment les Bousrez qui, semble-til, ont préparé un numéro de cirque et/ou d'acrobatie (ils ont des très beaux costumes).
Nous voilà dehors, dans l'herbe, l'écran  a été place très haut (une dizaine de mètres au-dessus de nous), je me demande comment je vais réussir à projeter là-dessus (en extérieur, en plus)
Il y a des branches de plusieurs arbres qui gênent la vision (il faudrait les couper me dis-je et je m'imagine d'ailleurs à ce moment en train de casser les branches), mais pour l'instant le plus important est de réussir à brancher la prise du projecteur sur celle de la rallonge, alors que visiblement elles ne sont pas compatibles, mais un genre d'homme à tout faire (de factotum) a pris les choses en main et s'en occupe
Je discute avec Pacoune, qui semble toute affolée, elle parle d'une chose qui vient de se produire, avec les USA ("Comment ? Tu n'es pas au courant?"), comme elle parle à demi-mots, ne termine pas sa phrase, je comprends que c'est quelque chose comme une guerre, mais je ne suis pas sûr...
Et, justement, la diapo que je trouve dans un tiroir, qui va servir à faire la mise au point, est...  une carte des USA, je me demande si ça ne va pas être perçu comme une provocation...
On est plusieurs à discuter autour du meuble métallique à roulettes, et je suis surpris de voir un bébé posé sur l'étagère inférieurs, en train de se balader à 4 pattes
Bon ça y est, on va bientôt démarrer... Je m'avance le long d'un couloir, un peu solennellement...

Et je me réveille, le souffle coupé (je viens de faire je pense une apnée du sommeil carabinée, j'ai du mal à reprendre ma respiration...)

1 mars 2024

février 24

jeudi 1er

(plusieurs réveils et rendormissements, je finis par me lever à presque 9h !) / 10h30 dring! c'est E. (avec son parapluie) ça tombe bien,  j'ai très envie, lui aussi,affaire rondement menée en 10' ("il n'avait pas vu qu'il était si tard") / je pars à pied au restau, et j'en profite pour passer à la pharmacie récupérer les pansements prescrits par mon petit infirmier / au Globe nous somme 6! (en plus de Catherine, Marie, et Isa nous ont rejoint Maria et Nathalie, qui font grève toutes les deux )/ je rentre à pied, j'ai un peu mal au ventre, et j'arrive chez moi juste avant la catastrophe... / 14h45 : Catherine passe me prendre pour me conduire chez l'ophtalmo, une heure plus tard je suis fixé sur mon opération de la cataracte : 5 juin et 26 juin (et sur tous les trucs que je vais devoir régler car il opère à la clinique, alors que je venais de promettre à Catherine que je n'y retournerais plus... : la chambre, l'anesthésiste, le dépassement d'honoraires, l'opération... tout ça m'agace plutôt) /

vendredi 2

(finalement dormi plus de 10h, avec une dernière tranche de 5 à 8!) / 8h30 le petit infirmier est là, changement de pansement, son collègue ne passera que dimanche, non, lundi!) / 15h et quelques : Emma passe prendre un café puis m'emmène au cinéma / 16h : LE DERNIER DES JUIFS (013) / ensuite je retrouve Manue "sur le canapé rouge" (dans le hall du cinéma) pour lui donner la place de spectacle pour ce soir (elle m'a apporté 4 cocos tout frais de ses poules) / 18h c'est Catherine qui arrive pour voir avec moi LA TÊTE FROIDE (014) / et qui me ramènera ensuite très gentiment à la maison / je me couche assez tôt...

samedi 3

je me décide à prendre le bus pour aller à Besac (j'ai 3 places de cinéma qui périment le 7 février...) /je par à pied à la gare, suis en avance, j'ai le temps de boire un crème au Globe / 12h30 à l'Iguane comme réservé pour un plat du jour / 13h30 : LA ZONE D'INTERÊT (015) au Victor Hugo (60 personnes dans la salle 1!) / je repars avec des nouvelles places valables jusqu'en avril... / à la boulangerie j'achète une barquette de bugnes et un pain à la châtaigne / je passe chez ma copine bouquiniste mais je ne trouve pas grand-chose (il ne faut pas non plus que j'alourdisse mon sac) j'arrive à 16h10 pour le bus de 16h20 : nickel! / je mange 100gr de bugnes en 10 minutes / voyage de retour avec de l'autre côté de l'allée deux perruches (mignonnes) mais qui n'ont pas arrêté de jacasser de tout le voyage (moitié en français et moitié en arabe...) / j'ai terminé PORNO PALACE / au courrier une belle grande lettre de Philou (2 A4 recto-verso) je l'ouvre (soigneusement) mais je ne la lirai pas tout de suite, j'attendrai demain, avec le café, c'est une "lettre de dimanche" / au repas, encore un coco d'Authoison à la coque (et celui-là est par-fait!) / N. m'envoie -aimablement- une photo de ce que je lui ai demandé (...) avec juste le mot "Coucou" /

dimanche 4

(nuit très très fractionnée : à 1h du matin, je me relevais déjà pour la deuxième fois...) / très tôt, je fais une lessive / je prépare un clafoutis aux bleuets que je mangerai à midi (en réduisant de moitié, comme à chaque fois, la quantité de sucre préconisée, donc 50g à la place de 100g) / j'ai décongelé de la soupe (qui ne le sera pas assez pour midi) et deux araignées de porc que je cuisinerai à la crème et à la moutarde / c'est dimanche : je m'offre deux chocolats du Criollo avec le café, tout en lisant la belle grande lettre de Philou (notations, extraits de livres, compte-rendu d'événement, et il y a même un rêve -j'adore les récits de rêve-) / sur c*co je tombe sur E2 qui a très envie de revenir... et on délire ensemble un moment /

lundi 5

8h30 : j'attends "l'autre" infirmier... qui ne vient pas / je commence JEUNES COEURS ÉPROUVÉS de Richard Yates / 10h : je finis par rappeler le cabinet, et c'est le jeune infirmier qui rappelle en me confirmant "qu'il y a eu un pataquès..." et qu'il arrive / 5 minutes plus tard il m'enlève mon pansement, y a un truc qui gicle, il s'agit d'une phlyctène, m'apprend-t-il, qui contenait de la lymphe et vient de s'évacuer... / Et c'est le troisième infirmier qui interviendra mercredi et vendredi, vers 10h / Hervé au téléphone, à propos de Diversité et de La Semaine Latino 12 / N. sur wh*tsapp juste avant le repas, on chatte aimablement  (photos et fantasmes) / à ma demande Catherine est passée chez Chaum*rtin : il n'y a plus d'oranges caracara! (la saison est terminée, semblerait-il) / elle me conduit au Super U (à ma demande) pour faire quelques courses... / Un cadeau de L. au courrier ("trop tard pour Noël, trop tôt pour la St Valentin"), un truc brodé main d'un goût exquis... / je passe un bon moment avec N. sur wh*tsapp.../

mardi 6

(je me recouche tard, et donc je me reréveille tard, mais bon ce matin je n'ai rien de prévu) / ça coule encore, sous mon pansement... / je prépare une salade d'oranges pour midi / elle concluera un repas de cœurs d'artichauts, puis d'épinards à la crème, accompagnés de jambon cru / avant, j'échange avec N. qui me semble assez excité (moi aussi, du coup) / 13h30 au cinéma pour SCRAPPER (016) / avant, je discute un peu avec la petite caissière du FICA, en plein taf, lui expliquant que cette année on ne se verra pas, qu'il n'y a qu'un film qui m'intéresse, elle me demande lequel et me file un exo... j'en ai une larmichette) / je passe à Bric* pour trouver une suspension (l'électricien vient vendredi) / je pousse jusqu'à Lecl*rc car j'ai eu une très bonne idée de cadeau pour Philou mais hélas le livre n'y est pas... / et je repars en ville direction Qu*vy pour acheter 200g de beignets (dans la boutique, un artisan -garé en merde juste devant- vivante image de la gourmandise : un mec tout rond, qui tient entre ses doigts, presque avec ferveur, un éclair (chocolat ?) qu'il va vraisemblablement engloutir sur le champ) / échanges avec N. sur wh*tsapp / puis je vais m'endormir un peu devant la tévé...

mercredi 7

(insomnie entre 3 et 4, je me recouche, je me relève...) / au milieu de la nuit je me rappelle soudain que j'ai oublier de régler le chauffagiste (et, effectivement, je retrouve l'enveloppe avec la facture ) / le troisième infirmier ("le grand") passe vers 9h (plus tôt que prévu), c'est lui qui revient vendredi et qui va commencer à m'enlever les points... -mais bon vendredi c'est le 9 et le chirurgien avait dit le 10...- / je me recouche après son passage, je l'ai bien mérité / premier jour de non-ficâââ^/ je sors pour acheter du pain (il commence à pleuvoir), j'achète aussi 100g de beignets, que je boulotte illico sur le chemin du retour (je suis comme saisi de fringale) / sur le coup de midi, un coup de fil de Brigitte (ma soeur) pour répondre à ma carte de vœux et évoquer nos santés respectives... / N. m'envoie une jolie photo sur wh*tsapp et nous échangeons joyeusement / je fais une siestounette (une bonne heure quand même) / je ressors pour aller poster le chèque pour le chauffagiste, et tiens il re-pleut (je pense que j'adore les reflets d'éclairages urbains sur les trottoirs mouillés, je prends une photo) / je réinstalle Scrabble Pro mais je ne joue que contre l'ordinateur / échange coquin (avec images à l'appui) avec N...

jeudi 8

(deuxième jour sans ficâââ, je me sèvre...) / 9h30 : Pépin arrive pour le café-scrabble (avec des cookies faits maison) / 3 parties, dont la dernière en moins de 30 minutes (la première est pour lui, les deux autres pour moi) / 11h30 : nous repartons à pied tous les deux, lui pour faire un tour en ville, et moi pour rejoindre le Globe... / J'arrive en avance et je commande un demi / nous serons 5 à table aujourd'hui, Françoise J. nous a rejoints / je photographie à plusieurs reprises un jeune ouvrier en blanc de la table d'à côté / au téléphone avec Hervé pour préparer la prochaine programmation (qui sera très dense), avec, notamment le choix des 6 films en "one shot" pour DIVERSITÉ / je joue longtemps contre l'ordi et du coup j'ai très faim, et à 20h tout ce que je mange me semble délicieux : salade de pois chiches + anchois roulés aux câpres (avec huile des anchois) / soupe de légumes verts avec comté / et en dessert le dernier cookie de Pépin : tout est est ex-quis /échanges avec N. que je sens de plus en plus à l'aise.../

vendredi 9

(un succession de réveils, de rendormissements et de rêves, plutôt agréables) / vu à l'occasion, vers 4h, une vidéo de N. postée hier soir / 9h30 dring! mais ce n'est pas l'infirmier, c'est l'électricien, suivi de Nelly, ma proprio, qui vient installer dans le salon la suspension qu'elle  m'avait conseillé d'acheter / Et qui m'installe aussi, fournie par Nelly,  une nouvelle suspension (papier) dans la bibliothèque (remplacement des douilles de chantier...) / cet homme très sympathique m'apprend que c'est lui qui a installé l'électricité dans la maison de Co & Pépin / je les remercie quand ils partent, mais je commence à m'inquiéter de ne pas avoir de nouvelles de mon infirmier... / il sonnera à 10h40, s'excusant de son retard (une histoire avec le bus de sa fille...) / il n'enlèvera pas les points (ouf...) aujourd'hui, car ça coule encore un petit peu, mais c'est son collègue (le plus âgé) qui viendra lundi matin, et avisera s'il enlève tout ou moitié des points / je passe pas mal de temps (et de copies d'écran) en contemplant à l'action un masseur taoïste anglais sur tw*tter /  je règle un problème de cookies qui m'empêchait de voir toutes les vidéos youtube... / à 11h36 je suis encore en peignoir / (et après je ne sais plus ce que j'ai fait parce que je n'ai pas noté tout de suite)

samedi 10

Souvent, au petit-déj', j'ai une chanson idiote dans la tête : hier, c'était celle de Colargol, et ce matin "Alors je chante" de Rika Zaraï / je m'inquiète parce que j'ai porté un pack de lait, et je guette une éventuelle augmentation des douleurs / un petit tour de marché sans acheter trop de choses (le sac ne doit pas être trop lourd) / pour midi je prépare un gratin de crozets (mais cette fois hélas je n'en ai pas mis assez (de crozets!) ) / 17h je prends la voiture pour aller voir "mon" seul film du Ficââââ / Je me gare très loin (devant chez l'angiologue) et je finis à pied / 18h : LE MAL N'EXISTE PAS (017) (transféré de la salle 4 à la salle 8) où je suis rejoint par Isabelle / je vois aussi , de loin, Pépin qui vient de s'asseoir dans la salle / beaucoup beaucoup de monde en stabulation (meueueueuh) dans les couloirs sur le coup de 20h / j'entraperçois mon très joli BAB de l'année dernière mais je n'ai pas le temps de le photographier / Isa me fait remarquer que cette année il a opté pour la queue de cheval / Isa qui me demande ensuite si je peux la ramener chez elle / je la dépose en bas de sa rue et je rentre à la maison / 

dimanche 11

Ce matin j'ai d'abord eu en tête la musique de Rabbi Jacob / je prépare une salade de pois-chiches qui va devenir carrément un plat principal, et pour le dessert j'ai un chou chantilly acheté hier chez le boulanger (avec arrière-pensées) / l'après-midi je me débats un peu sur internet avec les cookies (j'ai utilisé un "nettoyeur" et du coup je dois reparamétrer une bonne partie des sites où je suis abonné –des fois c'est facile (Libé, Téléramuche) et des fois c'est plus complexe (je m'arrache les cheveux avec les Inrocks, par exemple)) / j'ai déjà préparé les six films de DIVERSITÉ pour notre prochaine programmation / ça fait 2 jours que canalblog n'est plus accessible ("erreur  503" : je ronge mon frein et j'écris ailleurs en attendant…) / sur suggestion de Manue, j'essaie de mettre en place une soirée tarot pendant les vacances de février  (mais ça n'est pas si simple) /

lundi 12

(ça y est canalblog est réparé...) / le troisième infirmier est passé comme annoncé et m'a enlevé les points du haut et ceux du bas (et pas ceux de "là où c'était chelou..." / divers échanges sur les P., qui ne débouchent sur rien / j'ai repéré qu'un groupe de joyeux travailleurs remonte la rue St Georges vers 13h (qui se rendent probablement sur le chantier de la maison démolie, un peu plus haut dans la rue), j'essaierai de les photographier demain / au courrier une carte postale d'Annette en réponse à mes vœux /  je joue au tarot (je perds) et au scrabble (je perds aussi) / tiens pour ce soir je vais préparer des crêpes au chocolat (dans la pâte, le chocolat) / au téléphone avec Hervé, puis avec Malou, et sur ses conseils je regarde le premier épisode de la première saison de FARGO... /

mardi 13

(mes nuits sont de + en + en rondelles...) / je petit-déj' à 6h (crêpes) et je me recouche / ça y est la date de la soirée tarot est confirmée : jeudi 22 chez Manue / je surprend mes travailleurs à l'aller (de dos, midi et quelques, je les filme, puis au retour (de face, 13h et quelques, je les photographie / je continue de lire JEUNES COEURS EPROUVES / je traîne, je joue comme hier, et finis par m'habiller, sur le coup de 16 h / je sors pour acheter du pain et des agrumes (c'est un peu lourd, mais je me ménage, et mon ventre tient bon / regardé deux épisodes de FARGO / mangé un peu n'importe comment  (soupe de légumes et Soumaintrain, et quelques crêpes pour terminer.../ tombé par hasard sur le premier numéro de K*h lanta et donc photographié quelques mâles en tenue légère / lu très tard quelques messages de N., envoyés plus tôt dans la soirée

mercredi 14

(très bien commencé la journée -même si de très bonne heure- avec le BLOW UP sur Barbara, et du coup, logiquement, enchaîné sur celui sur Jeanne Balibar, revu avec grand plaisir) / c'est E2 avec qui je chatte sur c*co et qui souhaite venir cet aprem' / mais j'ai rdv à l'hôpital à 14h pour test de dépistage "définitif" / on projette donc de se recontacter en début d'après-midi / Le jeune infirmier passe pour m'enlever les points qui restent, les fils sont un peu pris ds la croûte lol, mais il y parvient, et tiens, il m'appelle même par mon prénom (et me répète de ne pas toucher à la croûte / comme prévu Emma passe en allant à Belfort, m'apportant en même temps le bouquin pour Philou et les tasses pour Manue (deux cadeaux d'anniversaire...) / mais c'est de J. (je suis obligé de lui redemander qui il est, on ne s'est vu qu'une fois, et je comprends que c'est celui que L. a surnommé, affectueusement "le sanglier")  que je reçois un sms en fin de matinée pour me prévenir qu'il est dispo / je lui dis qu'éventuellement, après le rdv à l'hôpital... / comme j'y vais en avance, je suis sorti à 14h, je le rappelle, et il passe donc à la maison (c'est vraiment un beau nounours, qui a toujours peur de ne pas bander, mais c'est tout à fait infondé...) / j'ai bien fait de trancher en sa faveur : aucune nouvelle de E2. / 18h et quelques : je passe chez Qu*vy pour acheter des beignets, mais ils ont été "dévalisés" : plus rien (et je suis déçu) / 18h30 :réunion de programmation des ADC plutôt animée et joyeuse (nous programmons vraiment beaucoup de films, et du coup la Semaine Latino 12 est fixée au 3 avril, et repoussée sur la prochaine programmation / je rappelle Philou et nous convenons de nous rappeler la semaine prochaine pour un café / je joue tard au scrabble contre l'ordinateur (jusqu'à ce que je gagne une partie, en fait) et je me couche à minuit et demie

jeudi 15

(de pire en pire, là, cette nuit, je me suis réveillé toutes les heures!!!) / j'ai ôté mon pansement, me suis douché, et j'ai ensuite appliqué sur ma cicatrice le gel "spécial points de suture" préconisé par le pharmacien / de ma fenêtre je vois Pépin qui descend faire des courses, je l'apostrophe par la fenêtre ouverte, et il m'annonce qu'on ne pourra pas jouer demain matin comme prévu / je descend au point M*ndial Relay pour récupérer une nouvelle commande de livres chez G*bert / puis je prends la voiture, je passe d'abord chez Qu*vy pour acheter des beignets, et je vais ensuite me garer pour mon rendez-vous du jeudi midi au Globe avec les filles / nous y sommes quatre (Françoise, m'apprend Marie,  vient de se casser la main) / Isa a mené l'enquête et m'en a appris plus sur mon joli barbu à bonnet du ficâââ (elle m'a même trouvé son instagram!) / après le repas j'hésite : sieste ou cinéma ? je laisse ma voiture décider, qui me ramène donc à la maison (je me gare rue Serpente et je descend jusqu'à la maison, mon sac de beignets à la main) / sieste minuscule (à peine un quart d'heure!) / je joue sur l'ordi (tarot puis scrabble) / et hop! je range le canapé dans la bibliothèque... (je vais refaire un sac de bouquins pour Emmaüs...), ça me fait très plaisir de le voir vide / je regarde un épisode de FARGO (le 6) et je mange ma soupe un peu tard

vendredi 16

(ce dernier rêve de la nuit, où on rejouait, une fois de plus Le Songe d'une nuit d'été, je ne retrouvais pas mon costume, je ne savais plus mon texte, et j'étais décidé à monter sur scène avec le bouquin dans la main...) / je termine JEUNES CŒURS ÉPROUVÉS de Richard Yates / je petit-déjeune avec les derniers beignets achetés hier chez Quévy / 13h30 : LA ZONE D'INTERÊT (30 personnes dans la salle 9! )(018) / un petit tour par le Super U avant de repasser à l'hôpital pour le résultat de mon test, qui est, bien sûr négatif! / toujours aucune nouvelle de N., je lui envoie un sms pour avoir des nouvelles / je regarde deux épisodes de FARGO (j'en suis au 8) /

(là il manque une dizaine de jours, du samedi 17 au dimanche 25, et je ne sais pas ce que canalblog en a fait pour le moment, mais ils devraient réapparaître "prochainement")

lundi 26

De bonne heure, je commence à regarder IRMA VEP sur MUBI / je suis un peu contrarié quand je me rends compte que j'ai de nouveau perdu le goût (la boisson noisette ne sent plus la noisette) et l'odorat / je joue pas mal au scrabble (en principe, tant que je gagne, je refais une partie…) /  pour gagner du temps, je vais à l'hôpital pour chercher mes étiquettes pour demain matin (et je fais bien : à 15h, 0 minute d'attente!) / j'en profite pour aller au Grand L*clerc pour faire quelques courses (et compléter ma collection d'Alpro, hihi) / j'ai du mal avec la nouvelle interface de canalbl*g, qui, semble-t-il, ambitionne de devenir payant (et pour le moment je ne retrouve rien après le 16 février…) / je regarde la suite et la fin d'IRMA VEP  (22 ?) /

mardi 27

Tiens… un court message de N. sur wh*tsapp qui pourrait vaguement ressembler à des excuses… (et bien entendu j'y réponds illico) / oui je dois me rendre à l'évidence : j'ai à nouveau perdu l'odorat et le goût… / à midi notre repas mensuel à trois, avec Emma et Cathy , à La Femme du Boulanger  (salade périgourdine et fondant au chocolat...) / Emma me ramène en voiture à la maison et me descend gentiment mes bouteilles dans le bac à verre / E2. se manifeste sur c*co (avec un besoin urgent de venir) et une heure après il est là et m'a "apporté mon dessert " / Zabetta, puis Hervé, puis re-Zabetta au téléphone, au sujet, entre autres de la Semaine Latino 12…/ et le soir je jette un œil sur K*h Lanta (j'aime bien ce rouquin en short bleu /

mercredi 28

(nuit en tranches de une heure…ohlala) / je termine UN DESTIN D'EXCEPTION, de Richard Yates (et je me réjouis qu'il m'en reste encore plusieurs de lui non lus sur les étagères de ma bibliothèque) / un événement inattendu : pour la première fois depuis que j'habite ici, les volets de l'appartement d'en face sont ouverts (il y a des rideaux aux fenêtres) mais pas d'autres signes de vie / j'envoie à Pépin (sur la demande de MUBI) un lien pour visionner IRMA VEP / je finalise le post des photos de février sur le blog / 18h : réunion de mizenplis au local (suite à un pataquès on n'a pas de programmations, que Benoît ira chercher à Repr* System) / le soir je somnole sur la canapé devant la télé

jeudi 29

(un tout petit peu mieux dormi qu'hier -3h d'un coup pour commencer!) / de bonne heure je reprends le post de février (au 26, il y aura donc auparavant -chinois, bien sûr-  un trou de 10 jours, que canalblog devrait combler bientôt / j'appelle mon aide ménagère Anne-Marie pour prendre des nouvelles, et savoir si je peux passer prendre un café en début d'après-midi... / je passe chez Qu*vy pour acheter 2 gâteaux pour tout à l'heure / un repas spécial "soldes du S*per U" / 13h30 je suis chez Anne-Marie (grâce à Antonin, de w*ze, que j'ai, pour le coup, remis en service ("au prochaing rond-poing...") / on se partage les deux gâteaux avec le café et on papote / 17h45 : GREEN BORDER (023 ?) avec Catherine / ensuite elle me paye une bière (et pour elle un chocolat viennois) / et pour finir, échange wh*tsapp avec N ("comme si de rien n'était"...)

(une amie très chère me fait remarquer à l'instant "qu'il manque des jours à la fin du mois...", puis réalise sa bourde et nous convenons ensemble que c'est comme ça, qu'il n'y aura jamais ni 30 ni 31 à la fin de ce mois-là...)

29 février 2024

des photos pour le mois de février

 

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1) anthurium

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2) passant

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3) pris!

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4) spaghetti

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5) k*h lanta

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6) on s'entretient

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7) ombre

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8) étendoir

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9) voiture sale

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10) finalement au ficâââ, y avait pas tant de monde que ça hein...

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11) électricien

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12) du bus

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13) soirée des César

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14) la pluie sur les trottoirs

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15) au Globe (1)

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16) au Globe (2)

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17) le plot destroyé

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18) fargo

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19) au 12

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20) la confiture d'oranges amères

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21) on compte les points

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22) Marie fume dehors

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23) jeune travailleur (sous la pluie)

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24) le doudou

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25) LPC

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26) dans la poubelle

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27) on ne saurait mieux dire...

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28) le plot devant l'hôpital

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29) le monstre du parking de la rue Serpente

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30) la fenêtre d'en face

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31) la femme du boulanger

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32) la tarte au citron (destructurée)

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27 février 2024

qu'est-ce qui se passe ?

Un petit mot pour mes habitué(e)s, lectrices et lecteurs : Canalblog est actuellement en phase de transition (de "synchronisation", disent-ils) , l'interface a changé, il faut s'y habituer...
Pour le moment j'ai récupéré tous mes anciens messages, mais jusqu'au 16 février inclus, mais au-delà, plus rien...
Pareil pour mes messages "en cours" : par exemple, mon éphéméride habituel, quotidien, est, pour l'instant bloqué au 16 février (et j'espère que les jours manquants vont finir par réapparaître...)
Espérons!
Par contre il ne semble y avoir aucun problème pour publier de nouveaux messages...

 

27 février 2024

"Gay" ou pédé ?

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SANS JAMAIS NOUS CONNAÎTRE
de Andrew Haigh

Le nom du réalisateur me disait quelque chose... J'ai déjà vu WEEK-END (2012) -critiquette - et également la série LOOKING (2014). Très étiqueté "gay" (ou pédé ?). Et voilà que débarque ce film que je n'avais absolument pas vu venir, et que les critiques que je lis (pour mettre dans notre programmation papier) sont vraiment très élogieuses... (4 *****, et plein de ****).
Quoi, quoi, quoi ? Pourquoi donc cet emballement pour un film "gay" (ou pédé ?), soudain sorti du ghetto, et qui plus est distribué par une compagnie maousse avec des grandes oreilles (Walt D*sney pour ne pas le nommer...) Est-ce dû à l'efficacité d'un attaché de presse particulièrement zélé ???
Je suis donc allé au Victor Hugo, même si les conditions de proj' n'étaient pas optimales ce jour, à la séance de 13h10 (sur l'écran de la salle 2 c'est toujours bien sombrinet, si le film ne se passe pas en extérieur au soleil en plein midi, hein...
Mais bon, on y va, vaillamment, hop hop, et là on est tout de suite happé... Adam vit dans une tour, à Londres, où il n'y a visiblement pas grand monde d'autre, quand soudain, un soir, on frappe à la porte... C'est Harry, un voisin du 6ème étage, une bouteille de whisky entamée à la main, qui vient lui demander l'hospitalité, et peut-être (sans doute) un peu plus... Mais Adam refuse l'invitation de Harry à partager la bouteille  (et le reste aussi), le repousse gentiment et referme la porte...
Et voilà.
Je devrais m'arrêter là et ne rien vous en dire de plus.
C'est un film qui parle d'une relation entre hommes, c'est sûr, mais qui ne peut (ne veut) pas être réduit à ça. Et si on parlait d'amour, hein ?
Il y a aussi les parents d'Adam, à qui il rend visite dans leur petite maison (sa maman c'est Claire Foy et son papa Jamie Bell, qu'on a découvert il y a un certain temps dans le rôle de BILLY ELLIOT, dans le film du même nom (en 1999)). Il y a le train, dans lequel il voyage souvent, et il y a les rêves, qu'il fait tout aussi souvent...
Ne lisez pas de critiques, ne cherchez pas à en savoir davantage... Juste allez voir le film, et laissez vous porter, transporter, jusqu'à ce final superbe sur THE POWER OF LOVE de Frankie Goes to Hollywood (1984)...
Les maris, les amants, les parents, les enfants...
Une très belle réussite, qui déborde largement du cadre de la gay romance, et que je retournerai voir dans le bôô cinéma dans 15 jours, pour voir si c'est toujours aussi sombre...
Top 10 pour l'émotion générée (et le soin extrême apporté à la réalisation)

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26 février 2024

des broches dans le dos qui font sonner le portique

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LE BONHEUR EST POUR DEMAIN
de Brigitte Sy

J'y suis allé à la toute dernière séance, mardi à 18h, en revenant de chez les Soria.
J'y allais pour Damien Bonnard (que j'ai trouvé excellent, bien entendu), j'ai eu la (bonne) surprise de voir que Béatrice Dalle faisait partie du trio de tête (excellente aussi, à quoi bon le préciser...)- elle joue Lucie, la mère de Damien Bonnard- et l'excellente surprise de découvrir que Laetitia Casta l'était tout autant (excellente). Brelan de roi et de reines, donc.
On le savait, directement à travers ses films (Les mains libres, L'astragale), et indirectement par celui de son fils Louis (L'Innocent, de -très- réjouissante mémoire), l'amour et le milieu carcéral sont deux sujets qui tiennent à coeur à la réalisatrice... Donc on sait -un peu- à quoi s'attendre. Et le cahier des charges est respecté : milieu interlope, truands, petits dealers, braqueur, braquage qui tourne mal, prison, et amour, oui oui amour...
Je le redis, le trio de tête est éblouissant, chacun(e) des trois dans son registre, et porte très haut le film (qui sans l'intensité, l'incandescence de leur jeu aurait été beaucoup plus banal, conventionnel -une bonne mécanique de polar, bien graissée comme un flingue prêt à servir- mais tout ça aurait été beaucoup plus... plat.)
Mais là, on est sollicité à tous les instants, on a les yeux comme des soucoupes, on a le coeur qui bat, on est remué, attendri, bouleversé, chamboulé transbahuté dans les montagnes russes du récit, pourtant je le répète pas a priori follement originales... C'est la prison qui va devenir le décor principal et récurrent, avec les visites, les scènes de parloir, avec l'amour pour moteur, et le point d'orgue d'une flippante -et réussie- scène d'évasion.
Le film se passe en 1994, la reconstitution est minutieusement "d'époque" (ah les mini-jupes, les perruques flashy, ah les k7 vidéo... nostalgie, il sera plusieurs fois question, dans les dialogues, du film Mesrine,(1984) une autre histoire de braquage de violence et d'amour, qui semble tenir à coeur au personnage joué par Damien Bonnard).
Des flingues et de l'amour (beaucoup d'amour...) tout ça "d'après plusieurs histoires vraies..." Oui, la patience infinie que donne l'amour... On valide! Et on applaudit encore une fois les trois magnifiques personnages (servis par les trois magnifiques acteurs).

 

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24 février 2024

alors, ces César?

Liste Officielle des Nominations pour les César 2024

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE
MARION COTILLARD dans LITTLE GIRL BLUE
LÉA DRUCKER dans L’ÉTÉ DERNIER
VIRGINIE EFIRA dans L’AMOUR ET LES FORÊTS
HAFSIA HERZI dans LE RAVISSEMENT
SANDRA HÜLLER dans ANATOMIE D’UNE CHUTE

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR
ROMAIN DURIS dans LE RÈGNE ANIMAL
BENJAMIN LAVERNHE dans L’ABBÉ PIERRE - UNE VIE DE COMBATS
MELVIL POUPAUD dans L’AMOUR ET LES FORÊTS
RAPHAËL QUENARD dans YANNICK
ARIEH WORTHALTER dans LE PROCÈS GOLDMAN

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE DANS UN SECOND RÔLE
LEÏLA BEKHTI dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
GALATEA BELLUGI dans CHIEN DE LA CASSE
ÉLODIE BOUCHEZ dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
ADÈLE EXARCHOPOULOS dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
MIOU MIOU dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR DANS UN SECOND RÔLE
SWANN ARLAUD dans ANATOMIE D’UNE CHUTE
ANTHONY BAJON dans CHIEN DE LA CASSE
ARTHUR HARARI dans LE PROCÈS GOLDMAN
PIO MARMAÏ dans YANNICK
ANTOINE REINARTZ dans ANATOMIE D’UNE CHUTE

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE RÉVÉLATION FÉMININE
CÉLESTE BRUNNQUELL dans LA FILLE DE SON PÈRE
KIM HIGELIN dans LE CONSENTEMENT
SUZANNE JOUANNET dans LA VOIE ROYALE
REBECCA MARDER dans DE GRANDES ESPÉRANCES
ELLA RUMPF dans LE THÉORÈME DE MARGUERITE

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE RÉVÉLATION MASCULINE
JULIEN FRISON dans LE THÉORÈME DE MARGUERITE
PAUL KIRCHER dans LE RÈGNE ANIMAL
SAMUEL KIRCHER dans L’ÉTÉ DERNIER
MILO MACHADO-GRANER dans ANATOMIE D’UNE CHUTE
RAPHAËL QUENARD dans CHIEN DE LA CASSE

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR SCÉNARIO ORIGINAL
JUSTINE TRIET, ARTHUR HARARI pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
JEAN-BAPTISTE DURAND pour CHIEN DE LA CASSE
JEANNE HERRY pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
NATHALIE HERTZBERG, CÉDRIC KAHN pour LE PROCÈS GOLDMAN
THOMAS CAILLEY, PAULINE MUNIER pour LE RÈGNE ANIMAL

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE ADAPTATION
VALÉRIE DONZELLI, AUDREY DIWAN pour L’AMOUR ET LES FORÊTS
VANESSA FILHO pour LE CONSENTEMENT
CATHERINE BREILLAT pour L’ÉTÉ DERNIER

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
GABRIEL YARED pour L’AMOUR ET LES FORÊTS
DELPHINE MALAUSSÉNA pour CHIEN DE LA CASSE
VITALIC pour DISCO BOY
ANDREA LASZLO DE SIMONE pour LE RÈGNE ANIMAL
GUILLAUME ROUSSEL pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR SON
JULIEN SICART, FANNY MARTIN, JEANNE DELPLANCQ, OLIVIER GOINARD pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
RÉMI DARU, GUADALUPE CASSIUS, LOÏC PRIAN, MARC DOISNE pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
ERWAN KERZANET, SYLVAIN MALBRANT, OLIVIER GUILLAUME pour LE PROCÈS GOLDMAN
FABRICE OSINSKI, RAPHAËL SOHIER, MATTHIEU FICHET, NIELS BARLETTA pour LE RÈGNE ANIMAL
DAVID RIT, GWENNOLÉ LE BORGNE, OLIVIER TOUCHE, CYRIL HOLTZ, NIELS BARLETTA pour
LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE PHOTO
SIMON BEAUFILS pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
JONATHAN RICQUEBOURG pour LA PASSION DE DODIN BOUFFANT
PATRICK GHIRINGHELLI pour LE PROCÈS GOLDMAN
DAVID CAILLEY pour LE RÈGNE ANIMAL
NICOLAS BOLDUC pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR MONTAGE
LAURENT SÉNÉCHAL pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
FRANCIS VESIN pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
VALÉRIE LOISELEUX pour LITTLE GIRL BLUE
YANN DEDET pour LE PROCÈS GOLDMAN
LILIAN CORBEILLE pour LE RÈGNE ANIMAL

sont nommés pour
le CÉSAR DES MEILLEURS COSTUMES
JÜRGEN DOERING pour JEANNE DU BARRY
PASCALINE CHAVANNE pour MON CRIME
TRAN NU YÊN KHÊ pour LA PASSION DE DODIN BOUFFANT
ARIANE DAURAT pour LE RÈGNE ANIMAL
THIERRY DELETTRE pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DES MEILLEURS DÉCORS
EMMANUELLE DUPLAY pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
ANGELO ZAMPARUTTI pour JEANNE DU BARRY
TOMA BAQUÉNI pour LA PASSION DE DODIN BOUFFANT
JULIA LEMAIRE pour LE RÈGNE ANIMAL
STÉPHANE TAILLASSON pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DES MEILLEURS EFFETS VISUELS
THOMAS DUVAL pour ACIDE
LISE FISCHER, CÉDRIC FAYOLLE pour LA MONTAGNE
CYRILLE BONJEAN, BRUNO SOMMIER, JEAN-LOUIS AUTRET pour LE RÈGNE ANIMAL
OLIVIER CAUWET pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)
LÉO EWALD pour VERMINES

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE RÉALISATION
JUSTINE TRIET pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
CATHERINE BREILLAT pour L’ÉTÉ DERNIER
JEANNE HERRY pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
CÉDRIC KAHN pour LE PROCÈS GOLDMAN
THOMAS CAILLEY pour LE RÈGNE ANIMAL

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM D’ANIMATION
INTERDIT AUX CHIENS ET AUX ITALIENS
réalisé par ALAIN UGHETTO,
produit par ALEXANDRE CORNU, JEAN-FRANÇOIS LE CORRE, MATHIEU COURTOIS
LINDA VEUT DU POULET !
réalisé par CHIARA MALTA, SÉBASTIEN LAUDENBACH,
produit par MARC IRMER, EMMANUEL-ALAIN RAYNAL, PIERRE BAUSSARON
MARS EXPRESS
réalisé par JÉRÉMIE PÉRIN,
produit par DIDIER CRESTE

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
ATLANTIC BAR
réalisé par FANNY MOLINS,
produit par CHLOÉ SERVEL, NICOLAS TIRY
LES FILLES D’OLFA
réalisé par KAOUTHER BEN HANIA,
produit par NADIM CHEIKHROUHA
LITTLE GIRL BLUE
réalisé par MONA ACHACHE,
produit par LAETITIA GONZALEZ, YAËL FOGIEL
NOTRE CORPS
réalisé par CLAIRE SIMON,
produit par KRISTINA LARSEN
SUR L’ADAMANT
réalisé par NICOLAS PHILIBERT,
produit par MILÉNA POYLO, GILLES SACUTO, CÉLINE LOISEAU

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR PREMIER FILM
BERNADETTE
réalisé par LÉA DOMENACH,
produit par ANTOINE REIN, FABRICE GOLDSTEIN
CHIEN DE LA CASSE
réalisé par JEAN-BAPTISTE DURAND,
produit par ANAÏS BERTRAND
LE RAVISSEMENT
réalisé par IRIS KALTENBÄCK,
produit par ALICE BLOCH, THIERRY DE CLERMONT-TONNERRE
VERMINES
réalisé par SÉBASTIEN VANIČEK,
produit par HARRY TORDJMAN
VINCENT DOIT MOURIR
réalisé par STÉPHAN CASTANG,
produit par THIERRY LOUNAS, CLAIRE BONNEFOY

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM ÉTRANGER
L’ENLÈVEMENT
réalisé par MARCO BELLOCCHIO
Coproduction France AD VITAM PRODUCTION (Alexandra Henochsberg)
LES FEUILLES MORTES
réalisé par AKI KAURISMÄKI
distribution France DIAPHANA DISTRIBUTION
OPPENHEIMER
réalisé par CHRISTOPHER NOLAN
distribution France UNIVERSAL PICTURES INTERNATIONAL FRANCE
PERFECT DAYS
réalisé par WIM WENDERS
distribution France HAUT ET COURT DISTRIBUTION
SIMPLE COMME SYLVAIN
réalisé par MONIA CHOKRI
coproduction France MK PRODUCTIONS (Nathanaël Karmitz)

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM *
ANATOMIE D’UNE CHUTE
produit par MARIE-ANGE LUCIANI, DAVID THION,
réalisé par JUSTINE TRIET
CHIEN DE LA CASSE
produit par ANAÏS BERTRAND,
réalisé par JEAN-BAPTISTE DURAND
JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
produit par HUGO SÉLIGNAC, ALAIN ATTAL,
réalisé par JEANNE HERRY
LE PROCÈS GOLDMAN
produit par BENJAMIN ELALOUF,
réalisé par CÉDRIC KAHN
LE RÈGNE ANIMAL
produit par PIERRE GUYARD,
réalisé par THOMAS CAILLEY

... Bon y a pas à tortiller, je me suis bien bien planté, mais, heureusement les deux récompenses auxquelles je tenais le plus (meilleur premier premier film pour J-B Durand et CHIEN DE LA CASSE, et meilleure révélation masculine  pour Raphaël Quenard) sont allées à leur destinataires respectifs, alors j'étais content... (dommage pour Céleste Brunnquell, mais bon...)

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J'ai bien aimé l'hommage à Agnès Jaoui, ce qu'a dit Jamel Debbouze, l'émotion qu'on sentait palpable chez tout les deux, et la petite chanson accompagnée au ukulélé, un vrai moment de grâce...
J'ai bien aimé que Monia Chokri remporte le César du meilleur film étranger à la barbe, notamment, de Christopher Nolan, à qui elle s'est d'ailleurs adressée en empoignant sa compression : "Sorry, Mister Nolan..."
J'ai bien aimé qu'ARIEH WORTHALTER soit récompensé en tant que meilleur acteur (et la façon dont, "en vrai", il était différent de son personnage dans le film
J'ai bien aimé le numéro -attendu- de Raphaël Quenard, qui a délibérément attendu que retentisse la petite musique qui annonce que ça devient trop long, pour en rajouter encore une couche (j'ai cru qu'ils allaient finir par l'évacuer manu militari...)
J'ai bien aimé le rouge à lèvres de Justine Triet
J'ai bien aimé le discours de la présidente, Valérie Lemercier
J'ai bien aimé le silence et l'émotion pendant la déclaration de Judith Godrèche (et la standing ovation qui a suivi)

mais bon c'était loooooong tout ça, quand même hein (j'ai piqué du nez à un moment d'ailleurs)

(et j'ai quand même été plutôt déçu par la façon dont la nouvelle ministre de la culture a été miraculeusement épargnée, tout au long de la soirée... ça m'a même agacé!)

20 février 2024

madame irma pour les césar 2024

(à la demande de Mariechounette)
en bleu mes prévisions, voeux, souhaits, envies, desiderata (j'ai essayé d'être équitable)
ce post sera republié ensuite avec les vrais de vrais résultats en rose

Liste Officielle des Nominations pour les César 2024

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE
MARION COTILLARD dans LITTLE GIRL BLUE
LÉA DRUCKER dans L’ÉTÉ DERNIER
VIRGINIE EFIRA dans L’AMOUR ET LES FORÊTS
HAFSIA HERZI dans LE RAVISSEMENT
SANDRA HÜLLER dans ANATOMIE D’UNE CHUTE

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR
ROMAIN DURIS dans LE RÈGNE ANIMAL
BENJAMIN LAVERNHE dans L’ABBÉ PIERRE - UNE VIE DE COMBATS
MELVIL POUPAUD dans L’AMOUR ET LES FORÊTS
RAPHAËL QUENARD dans YANNICK
ARIEH WORTHALTER dans LE PROCÈS GOLDMAN

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE DANS UN SECOND RÔLE
LEÏLA BEKHTI dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
GALATEA BELLUGI dans CHIEN DE LA CASSE
ÉLODIE BOUCHEZ dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
ADÈLE EXARCHOPOULOS dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
MIOU MIOU dans JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR DANS UN SECOND RÔLE
SWANN ARLAUD dans ANATOMIE D’UNE CHUTE
ANTHONY BAJON dans CHIEN DE LA CASSE
ARTHUR HARARI dans LE PROCÈS GOLDMAN
PIO MARMAÏ dans YANNICK
ANTOINE REINARTZ dans ANATOMIE D’UNE CHUTE

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE RÉVÉLATION FÉMININE
CÉLESTE BRUNNQUELL dans LA FILLE DE SON PÈRE
KIM HIGELIN dans LE CONSENTEMENT
SUZANNE JOUANNET dans LA VOIE ROYALE
REBECCA MARDER dans DE GRANDES ESPÉRANCES
ELLA RUMPF dans LE THÉORÈME DE MARGUERITE

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE RÉVÉLATION MASCULINE
JULIEN FRISON dans LE THÉORÈME DE MARGUERITE
PAUL KIRCHER dans LE RÈGNE ANIMAL
SAMUEL KIRCHER dans L’ÉTÉ DERNIER
MILO MACHADO-GRANER dans ANATOMIE D’UNE CHUTE
RAPHAËL QUENARD dans CHIEN DE LA CASSE

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR SCÉNARIO ORIGINAL
JUSTINE TRIET, ARTHUR HARARI pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
JEAN-BAPTISTE DURAND pour CHIEN DE LA CASSE
JEANNE HERRY pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
NATHALIE HERTZBERG, CÉDRIC KAHN pour LE PROCÈS GOLDMAN
THOMAS CAILLEY, PAULINE MUNIER pour LE RÈGNE ANIMAL

sont nommées pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE ADAPTATION
VALÉRIE DONZELLI, AUDREY DIWAN pour L’AMOUR ET LES FORÊTS
VANESSA FILHO pour LE CONSENTEMENT
CATHERINE BREILLAT pour L’ÉTÉ DERNIER

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
GABRIEL YARED pour L’AMOUR ET LES FORÊTS
DELPHINE MALAUSSÉNA pour CHIEN DE LA CASSE
VITALIC pour DISCO BOY
ANDREA LASZLO DE SIMONE pour LE RÈGNE ANIMAL
GUILLAUME ROUSSEL pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR SON
JULIEN SICART, FANNY MARTIN, JEANNE DELPLANCQ, OLIVIER GOINARD pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
RÉMI DARU, GUADALUPE CASSIUS, LOÏC PRIAN, MARC DOISNE pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
ERWAN KERZANET, SYLVAIN MALBRANT, OLIVIER GUILLAUME pour LE PROCÈS GOLDMAN
FABRICE OSINSKI, RAPHAËL SOHIER, MATTHIEU FICHET, NIELS BARLETTA pour LE RÈGNE ANIMAL
DAVID RIT, GWENNOLÉ LE BORGNE, OLIVIER TOUCHE, CYRIL HOLTZ, NIELS BARLETTA pour
LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE PHOTO
SIMON BEAUFILS pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
JONATHAN RICQUEBOURG pour LA PASSION DE DODIN BOUFFANT
PATRICK GHIRINGHELLI pour LE PROCÈS GOLDMAN
DAVID CAILLEY pour LE RÈGNE ANIMAL
NICOLAS BOLDUC pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR MONTAGE
LAURENT SÉNÉCHAL pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
FRANCIS VESIN pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
VALÉRIE LOISELEUX pour LITTLE GIRL BLUE
YANN DEDET pour LE PROCÈS GOLDMAN
LILIAN CORBEILLE pour LE RÈGNE ANIMAL

sont nommés pour
le CÉSAR DES MEILLEURS COSTUMES
JÜRGEN DOERING pour JEANNE DU BARRY
PASCALINE CHAVANNE pour MON CRIME
TRAN NU YÊN KHÊ pour LA PASSION DE DODIN BOUFFANT
ARIANE DAURAT pour LE RÈGNE ANIMAL
THIERRY DELETTRE pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DES MEILLEURS DÉCORS
EMMANUELLE DUPLAY pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
ANGELO ZAMPARUTTI pour JEANNE DU BARRY
TOMA BAQUÉNI pour LA PASSION DE DODIN BOUFFANT
JULIA LEMAIRE pour LE RÈGNE ANIMAL
STÉPHANE TAILLASSON pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)

sont nommés pour
le CÉSAR DES MEILLEURS EFFETS VISUELS
THOMAS DUVAL pour ACIDE
LISE FISCHER, CÉDRIC FAYOLLE pour LA MONTAGNE
CYRILLE BONJEAN, BRUNO SOMMIER, JEAN-LOUIS AUTRET pour LE RÈGNE ANIMAL
OLIVIER CAUWET pour LES TROIS MOUSQUETAIRES (PARTIE 1 : D’ARTAGNAN / PARTIE 2 : MILADY)
LÉO EWALD pour VERMINES

sont nommés pour
le CÉSAR DE LA MEILLEURE RÉALISATION
JUSTINE TRIET pour ANATOMIE D’UNE CHUTE
CATHERINE BREILLAT pour L’ÉTÉ DERNIER
JEANNE HERRY pour JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
CÉDRIC KAHN pour LE PROCÈS GOLDMAN
THOMAS CAILLEY pour LE RÈGNE ANIMAL

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM D’ANIMATION
INTERDIT AUX CHIENS ET AUX ITALIENS
réalisé par ALAIN UGHETTO,
produit par ALEXANDRE CORNU, JEAN-FRANÇOIS LE CORRE, MATHIEU COURTOIS
LINDA VEUT DU POULET !
réalisé par CHIARA MALTA, SÉBASTIEN LAUDENBACH,
produit par MARC IRMER, EMMANUEL-ALAIN RAYNAL, PIERRE BAUSSARON
MARS EXPRESS
réalisé par JÉRÉMIE PÉRIN,
produit par DIDIER CRESTE

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
ATLANTIC BAR
réalisé par FANNY MOLINS,
produit par CHLOÉ SERVEL, NICOLAS TIRY
LES FILLES D’OLFA
réalisé par KAOUTHER BEN HANIA,
produit par NADIM CHEIKHROUHA
LITTLE GIRL BLUE
réalisé par MONA ACHACHE,
produit par LAETITIA GONZALEZ, YAËL FOGIEL
NOTRE CORPS
réalisé par CLAIRE SIMON,
produit par KRISTINA LARSEN
SUR L’ADAMANT
réalisé par NICOLAS PHILIBERT,
produit par MILÉNA POYLO, GILLES SACUTO, CÉLINE LOISEAU

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR PREMIER FILM
BERNADETTE
réalisé par LÉA DOMENACH,
produit par ANTOINE REIN, FABRICE GOLDSTEIN
CHIEN DE LA CASSE
réalisé par JEAN-BAPTISTE DURAND,
produit par ANAÏS BERTRAND
LE RAVISSEMENT
réalisé par IRIS KALTENBÄCK,
produit par ALICE BLOCH, THIERRY DE CLERMONT-TONNERRE
VERMINES
réalisé par SÉBASTIEN VANIČEK,
produit par HARRY TORDJMAN
VINCENT DOIT MOURIR
réalisé par STÉPHAN CASTANG,
produit par THIERRY LOUNAS, CLAIRE BONNEFOY

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM ÉTRANGER
L’ENLÈVEMENT
réalisé par MARCO BELLOCCHIO
Coproduction France AD VITAM PRODUCTION (Alexandra Henochsberg)
LES FEUILLES MORTES
réalisé par AKI KAURISMÄKI
distribution France DIAPHANA DISTRIBUTION
OPPENHEIMER
réalisé par CHRISTOPHER NOLAN
distribution France UNIVERSAL PICTURES INTERNATIONAL FRANCE
PERFECT DAYS
réalisé par WIM WENDERS
distribution France HAUT ET COURT DISTRIBUTION
SIMPLE COMME SYLVAIN
réalisé par MONIA CHOKRI
coproduction France MK PRODUCTIONS (Nathanaël Karmitz)

sont nommés pour
le CÉSAR DU MEILLEUR FILM *
ANATOMIE D’UNE CHUTE
produit par MARIE-ANGE LUCIANI, DAVID THION,
réalisé par JUSTINE TRIET
CHIEN DE LA CASSE
produit par ANAÏS BERTRAND,
réalisé par JEAN-BAPTISTE DURAND
JE VERRAI TOUJOURS VOS VISAGES
produit par HUGO SÉLIGNAC, ALAIN ATTAL,
réalisé par JEANNE HERRY
LE PROCÈS GOLDMAN
produit par BENJAMIN ELALOUF,
réalisé par CÉDRIC KAHN
LE RÈGNE ANIMAL
produit par PIERRE GUYARD,
réalisé par THOMAS CAILLEY

16 février 2024

le mur

015
LA ZONE D'INTÉRÊT
de Jonathan Glazer

Je suis allé spécialement à Besac pour le voir (en fait j'avais trois places qui arrivaient bientôt à expiration donc j'étais un peu obligé...), même si j'avais a priori plus envie de rester sur mon lit à ne rien faire en attehndant que ma cicatrice cicatrise...
Séance de 13h30 samedi : quelle surprise (heureusement je suis arrivé tôt) : une soixantaine de personnes sont venues s'asseoir dans la salle! Je suis même salué par les C., déjà installés, un couple ami spécialement venu de Vesoul pour l'occasion... J'ai rarement vu autant de monde à une première séance!
J'ai découvert le réalisateur en 2013 avec son sidérant UNDER THE SKIN, où Scarlett Johansson joue une extra-terrestre (même si je suis moins fan de la toute dernière partie du film). Mais bon celui-là, de par son thème je n'étais pas sûr sûr que ça allait le faire. Ca commence "fonctionnellement" avec plusieurs minutes (j'avais écris cinq, un critique en a compté trois, en tout cas c'est long) d'écran noir avec musique contemporaine ad hoc, sur laquelle on va entendre monter progressivement des chants d'oiseaux, qui accompagnent la première scène "visible" : une baignade familiale, (qu'on peut supposer dominicale), où l'on va faire la connaissance de Rudolf (le papa), Hedwig (la maman), et de leurs nombreux enfants (quatre ou cinq je ne suis plus sûr, mais ça n'a pas vraiment d'importance...).
Vie de famille : tous habitent dans une belle grande maison, avec un grand et beau jardin (c'est Madame qui s'en est occupée). Au fond du jardin il y a un mur, tout autour de la propriété, et, immédiatement derrière ce mur, ce qui ne sera jamais vraiment nommé, (ni montré) le camp d'extermination d'Auschwitz, dont Monsieur est directeur.
On n'en verra que ce qui dépasse au-dessus du mur : les toits des baraquements, une (ou des) cheminée(s), mais on en entendra par contre beaucoup plus (un travail extraordinaire a été fait (et revendiqué) sur la bande-son). La famille donc, vit sa vie, "paisiblement", sa vie de petite famille modèle, comme si de rien n'était. (Il sera quand même plusieurs fois question de fermer la fenêtre...).
Expérience particulière, qui ne m'arrive que rarement : j'ai vu le film constamment "de l'extérieur", depuis l'autre côté de l'écran, ayant conscience, pendant tout le visionnement ou presque, du public autour de moi, des autres spectateurs, en train de regarder ce qui se passait sur l'écran, de leur silence et de leur immobilité, d'être devant un film, mais refusant de rentrer dedans. En restant "à distance". Cela se produit en général lorsque je m'ennuie devant un film, que mon cerveau (ou mon corps) me font revenir fissa aux réalités et contingences de la salle de cinéma, mais là ce n'était pas le cas, je ne m'ennuyais pas, pas du tout, au contraire, puisque, formellement, le film est une réussite. Incontestable. Comme l'était UNDER THE SKIN. Et j'en reviens alors au bon vieux dilemne ("conversation de café du commerce" m'avait appris quelqu'un il y a longtemps) de la forme et du fond. de ce qu'on veut dire et de comment on le dit. Il serait davantage question de morale (ou d'éthique), et de réussir à comprendre ce que le réalisateur avait en tête, quel message il voulait faire passer, quelle réaction il entendait susciter (le "cahier des charges" de l'oeuvre). Plastiquement, il nous fait des propositions fortes. Intenses.
Et c'est en ça que je dis que j'en suis sorti (à la fin du film) en ne sachant pas quoi en penser.
D'autant plus que, lorsque les les lumières de la salle se sont -enfin- rallumées (le projectionniste nous a facétieusement laissés un peu dans le noir, et il se trouvait en bas de la salle pour nous en condamner l'accés, nous somme donc tous sortis à la queue-leu-leu, en file indienne, comme si nous n'étions pas encore tout à fait sortis du film (personnellement, il me faut, en général "un certain temps" pour revenir à la réalité (contrairement à, par exemple, ma copine Dominique), j'ai toujours besoin d'un genre de sas. Et la dernière partie du film ne fait rien pour nous laisser partir en paix. Au contraire.
Je n'avais pas envie d'échanger avec le projectionniste, qui, avant le film, m'avait fait part de son enthousiasme. Je demandais du temps.
Je suis reparti avec ces sentiments mêlés, ces interrogations, ces doutes, mais, tout autant cette fescination...

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 Je trouve l'affiche redoutablement efficace (efficacement redoutable)

15 février 2024

wasabi sauvage

017
LE MAL N'EXISTE PAS
de Ryusuke Hamaguchi

Lion d'Argent / Grand Prix du Jury à Venise 2023. (Ah bon…)
J'avais adoré DRIVE MY CAR, c'est vrai, puis un peu moins aimé CONTES DU HASARD, et donc là, pour mon unique film de cette édition 2024 du Ficâââ, j'étais rempli d'espoir… (dans de très bonnes dispositions). Et puis ça commence, des vues d'arbres et de branches vus en contreplongée sur une musique "intelligente", longtemps, et voilà déjà une entrée en matière certes jolie mais un peu indolente (et, donc, oui, longuette), soudain interrompue un peu sèchement (l'effet se reproduira plusieurs fois dans le film) pour entrer dans le vif du sujet : une fillette qui regarde un arbre, puis un homme qui remplit à la louche des jerrycans dans l'eau claire d'un gai ruisselet (on craint de le voir remplir in extenso, car avec une louche ça ne va pas vite...), puis un autre homme qui coupe du bois, d'abord à la scie puis à la hache (on craint aussi de voir le débitage in extenso car là aussi ça dure loooongtemps…)
On se dit que tout ça est quand même très très mou, même si joliet je le répète, quand enfin arrive un peu d'action : une réunion organisée entre les gens d'un village (dont les deux hommes déjà rencontrés, qui remplissant, et qui débitant) et deux sous-fifres (un homme et une femme) d'une quelconque entreprise, venus présenter (envoyés au casse-pipe) un projet de glamping sur le site dudit village… Ouf! On a le sentiment que le film démarre, un peu schématiquement certes (les gentils villageois paisibles qui vivent en accord avec la nature, connaissent le nom des arbres, regardent passer les cerfs et boivent de l'eau si fraîche et si pure, vs les méchants industriels sans scrupules et sans états d'âme, qui veulent surtout s'en mettre plein les poches, au détriment du respect de la nature, des villageois, et de la belle eau si pure -et des cerfs aussi-) mais on est content de voir les choses bouger, et les personnages évoluer d'une façon qu'on (pour certain(e)s) n'avait pas forcément anticipée…
Le film devient de plus en plus intéressant, (et moins simpliste qu'on n'aurait pu le craindre), puis va bifurquer dans sa dernière partie sur une péripétie (la disparition d'un personnage) que votre modeste serviteur avait  anticipée, mais se terminant de façon fort fort mystérieuse et inexpliquée (ce que tout le monde a ressenti, certes, mais bon la dame qui a présenté le film nous avait un peu avertis).

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