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lieux communs (et autres fadaises)
24 octobre 2005

trucs en vrac

1)RANGER
- le bureau comme d'hab (en état de zone totale!)
- le reste de l'appart' (cf plus haut)
- la cave (soyons fou!)
2)ENVOYER
- le logo des ADC
- le faire-part de naissance du blog
- le petit mot pour l'agenda 2006
3)FAIRE
- terminer l'agenda
- le monogramme "au propre"
- le "projet" pour PNB
- les deux (ou plus) cartes postales demandées
- installer Illustrator. M'en servir!
4) REGLER
- les factures arrivées entretemps
5) RETROUVER
- la trace de mon ami à la voiture rouge (...)
- pourquoi pas le tit chauffeur-livreur de vendredi (...)
6) M'OCCUPER de retrouver un truc potable pour kitchener (je n'ai plus de four depuis plus d'un mois)
7) SOUFFLER un coup....oufffff!!!

23 octobre 2005

c'est la faute aux copies

Dimanche d'enfer, pleut dehors et bosse dedans! (y avait guère que ça à faire!)
J'ai donc bien bien avancé aujourd'hui dans l'agenda 2006 : que je trie les photocopies et que je scanne les images et que je les mette à la bonne taille et que je compose toutes les semaines et tous les mois et que je sélectionne les machins que je veux y mettre et que je modifie la mise en page et que je m'énerve avec ces nouveaux word art et que j'attende des plombes pendant que l'ordi enregistre les modifications et que j'essaye de diminuer la taille des fichiers mais faudrait que je repasse toutes les images par Photoshop ouh la la faut voir et que je change l'ordre des machins et que je permute les polices de caractères et que je cherche des photos (ensuite) mais un concept (d'abord) pour la couverture et que je vérifie les dates et que et que et que OUF! c'est tout pour aujourd'hui ! (même pas eu donc, le temps de gémir!!!)

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22 octobre 2005

foire aux livres 05

- THE BLACK BOOK (Robert Mapplethorpe)
- NOS FRERES FAROUCHES : RAGOTTE (Jules Renard)
- TEMPÊTE DE GLACE (Rick Moody)
- LES A PEU PRES (Jean Grenier)
- ARCHAOS OU LE JARDIN ETINCELANT (Christiane Rochefort)
- PURPLE AMERICA (Rick Moody)
- AMOUR ET DESIR (William A. Ewing)
- JE SERAIS (Hervé Laroche)
- QUELQU'UN (Robert Pinget)
- AUTOUR DE MORTIN (Robert Pinget)
- NUAGE ROUGE (Christian Gailly)
- FOU DE VINCENT (Hervé Guibert)
- JE NE PEUX PLUS ME SENTIR (Pierre Duriez)
- SI ON LES TUAIT ? (Annie Saumont)

21 octobre 2005

rituel(s)

C'est une équation qui revient tous les ans : vacances de la toussaint = foire aux livres
Comme c'était (déjà) le premier jour d'icelles, je n'ai donc pas failli à la tradition, et, à l'heure où blanchit la campagne, j'ai vroum vroumé jusque la-bas, pour arriver tôt certes, mais aussi pour pouvoir pourquoi pas vivre quelques expériences bucoliques sur les bas-côtés de nos départementales jolies... Mais, (heure matinale ? frîcheur automnale ? htgrométrie conséquente ?) aucun incident n'est venu ralentir mon périple, et à 10 heures précises, après avoir trouvé la dernière place libre sur le parking, j'ai grimpé les marches, poussé la porte tournante, pour m'entendre dire non monsieur c'est fermé ce matin, cet après-midi à 14 heures.
Damned.
J'ai donc déparqué, et après m'être brièvement concerté avec moi-même, ai décidé de prendre la direction de l'autoroute, histoire de rajouter éventuellement quelques hot spots à mes cruising areas. Quatre heures c'est long sans lecture, il a bien fallu donc que je me promène un peu. Mais en vain. (et, quand le vain est tiré...)
Retour en ville, j'ai repris, encore une fois, la dernière place sur le parking (mais pas la même que ce matin, non!), et hop cette fois-ci, direction la Foire (ça mérite une majuscule) Imaginez 250 000 livres, rangés dans des caisses, des cartons, sur des étagères, en rangs en piles en vrac parfois... Passé quatre heures (encore!) à farfouiller là-dedans , à dénicher quelques merveilles, alors que "le" livre que je cherchais cette année (Oeuvres, d'Edouard Levé, éux éditions P.O.L) je n'en ai bien évidemment pas vu la couleur, même si, re-bien évidemment, j'ai pu, au cours de l'après-midi, voir la quasi-totalité des auteurs et des bouquins des susdites éditions. Mais bon, c'est le jeu.
Suis rentré, il faisait presque nuit, il brouillassait, mais j'étais plutôt de bonne humeur, d'autant plus que le hasard m'a gratifié d'une rencontre aussi imprévue que délicieuse (...) avec un chauffeur-livreur aussi jovial que breton.
(C'était en quelque sorte une conclusion logique de la journée, je restais dans le ton.
Bilan : 14 livres et -last but not the least- un livreur!)

20 octobre 2005

au petit poil

Au petit poil.
APP. C'est comme ça que je désignerai dorénavant ce jeune homme qui (comme chante Aznavour dans l'effroyable serpillère qui a pour titre Comme ils disent) "sans rien faire a mis le feuuu à ma mémoiiiiiiiiiiiiiiireu".
Repéré depuis le premier jour, qu'il était.
Hmmm le plan de l'histoire impossible, du crapaud amoureux de l'étoile, de l'amour en silence qui ne dira jamais son nom, ça faisait un certain temps que ça ne m'était plus arrivé, et -masochistement sans doute considére-je- ça me manquait...

Qu'est-ce que j'aime ça! (Oui, oui, je crois que j'en ai besoin, c'est comme un petit moteur!)
Des p'tits mecs agréables à l'oeil (à mon oeil tout du moins), j'en avais déjà remarqué quelques uns depuis mon arrivée, j'en ai un peu parlé ici, (ou pas parlé d'ailleurs, ça dépend), eux aussi m'ont parlé, très sympathiquement d'ailleurs (tiens, le petit piercé barbichu à casquette avait ces deux derniers jours perdu sa fameuse casquette... faudra que je lui en demande les raisons)
Mais lui, non, jamais, rien, pas un mot. On s'est vu au début quelques fois en cours (le fait que je sois à cheval sur deux années, et deux groupes ne facilite pas les choses) mais lui ne me salue même pas quand on se croise , comme s'il évitait mon regard (pourtant quasiment tout le monde ici semble très respectueux de cet usage : le sourire et le bonjour). Il est vraiment tout comme j'aime (et je l'observe donc de loin, ou à la dérobée, bientôt je vais le photographier...)

Et ce soir, ô surprise, lorsque je suis allé saluer Bernard et lui souhaiter de bonnes vacances, APP était assis dans un coin, au milieu d'un petit groupe , image charmante, le chapeau, la barbe de 3 jours, le piercing, la guitare... Bien sûr il ne m'a pas vu, mais au bout d'un certain temps, la salle a été quasiment vide, nous n'étions plus que 4 (lui, Bernard, moi, et cette jeune fille rigolarde dont j'ai oublié le prénom) On allait partir,  il s'est rapproché, rangeant ses affaires, et nous a parlé, j'ai raconté que je venais de me faire traiter de vieux -de façon tout à fait imméritée- par une greluchette de première année, ça l'a fait rire et ouvrir de gros yeux, puis il est parti dans le genre "bonnes vacances", à me demander si j'en avais , à Bernard aussi d'ailleurs, ce qui m'a mis d'excellente humeur pour lui souhaiter la pareille...
Il m'en faut peu (pour être heureux, hein, Baloo...) direz-vous, non ?
Ben oui. Juste un petit geste, une bribe, une miette... Je suis un ramasse-miettes de sentiments.

imgp5177

ps : vivi, l'image est floue, à dessein

20 octobre 2005

l'arbre

(souvenir de quand j'avais 6/7 ans je pense)

Je suis allé plusieurs années de suite en colonie de vacances à F. Il me reste pas mal de souvenirs de ces séjours (jen reparlerai pt'être plus en détail une autre fois). je crois bien que j'aimais plutôt ça, d'ailleurs. Mais ce que je préférais, là-bas, c'est qu'il y avait, à gauche du grand portail d'entrée, un énorme arbre (pin ? sapin ? épicéa? buis ?) , bien touffu, mais surtout dont les branches descendaient jusqu'au sol, dessinant un genre de gros ovale. J'avais découvert, je ne sais plus comment, qu'on pouvait pénétrer à l'intérieur. Il suffisait d'écarter les branches, de se frayer un passage, et on se retrouvait dans un genre de petite pièce arrondie, il me semble même qu'on pouvait s'y asseoir...
J'adorais aller m'y cacher, et je pense que j'y passais du temps...

20 octobre 2005

fin de rêve

(juste la fin d'un rêve, juste avant le réveil)

Un genre de banquet en plein air, avec des tables bout à bout (il y a vraiment beaucoup de monde, ça se passe peut-être aux Bozarts... Je suis assis quasiment en bout de table, un peu plus loin pend une bache en plastique qui nous sépare d'une table plus petite, autour de laquelle sont assises six personnes. Je reconnais, de dos, V.V grâce à sa coiffure "en koughelhopf" (mais plutôt grise dorénavant, pensé-je) et M.C, on comprend que c'est la table des "gens importants".
Je tourne la tête et je m'aperçois que M.C est aussi assis à côté de moi. Il est des deucx côtés à la fois. Je lui demande "Pourquoi es-tu venu t'asseoir à la table des humbles ?" Il ne répond rien mais me sourit...

19 octobre 2005

fatigué

Pfff! Quelle journée!
Ca fait vingt minutes que je suis arrivé à Vesoul (et encore, parce que j'ai écourté la séance! ) Passé donc toute la journée en salle info (face à une photocopie agrandie de bite de cheval si si c'est vrai je vous promets beurk) à tenter de me familiariser avec Illustrator (non non ce n'est pas un super héros c'est un logiciel de dessin vectoriel...) Six ou sept heures d'affilée devant un moniteur, à s'nerver sur le clavier parce qu'on ne se rappelle plus de la manip ou parce que ça ne produit pas du tout le résultat escompté ou... ou... à 18h j'ai donc pété un peu les plombs, et j'ai salué tout le monde à demain matin ! (Mon bonhomme n'aura que la tête alors que tout le monde aura terminé le sien mais tant pis j'assume!)
Mangé tout seul ce midi encore, mais c'était bien. Je pensais que se promener, là (ou ailleurs), avec tous ces gens, djeunz ou moins d'ailleurs, c'était quasiment comme déambuler dans le plus grand musée du monde : plein de choses à regarder, des belles et des moins, des qui touchent et des moins, des devant lesquelles on s'arrête et où on aurait même -comble de l'horreur, ne touchez pas c'est de l'arttt!- envie d'avancer la main et de la pose, oh juste un peu juste pour voir comment c'est. (la nuque de ce petit barbu hirsute au sourcil piercé qui faisait la queue devant moi, par exemple...)
(arghh je regarde par la fenêtre et il fait nuit, et ce matin quand je suis parti il faisait nuit aussi... j'ai même vérifié deux fois que je ne m'étais pas trompé d'heure!! alerte! alerte! arrivée imminente du TEMPS DE TOUSSAINT je répète alerte! alerte!...)) Très naze, n'aurai donc pas la force d'aller au ciléma... Eh bien, j'irai demain!
Et demain deuxième partie de la session Illustrator (vais-je en venir à bout ? vous le saurez au prochain épisode, mais bon, demain soir c'est -DEJA- les ouacances, alors point ne me plaindrai-je...)

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18 octobre 2005

petit soir

Aux 2/3 de ce jour, donc.
Bon jour, oui oui bon très bon : d'abord en écoutant le Dixit Dominus de Haendel, comment pourrait-il en être autrement ? A l'instar de la musique vocale religieuse de Vivaldi, ce morceau me transporte vraiment... Ca a un goût d'allégresse, de jubilation, très utile pour servir de contrepoint à la grisouillerie du ciel ce soir!
Oui, bon jour, bien cravaillé aux Bozarts.J'ai réalisé ce matin, devant la machine à café que les choses les plus importantes  que j'y ai appris pour le moment ne sont pas tant des techniques, ou des outils (pour le moment, bien sûr) mais plutôt des comportements : savoir attendre, savoir exposer son travail aux yeux des autres, et surtout être capable d'entendre une critique, l'accepter et s'en servir pour progresser.
Un grand pas pour moi!
En cours ça s'passe bien, I feel good, des projets commencent à prendre forme, voire se concrétiser (Pierre V. m'a enfin tiré la pub pour mon blog : si vous lisez ces lignes et que je vous connais -ou tout du moins que j'ai votre adresse- il y a de grandes chances que vous le receviez!), envie réciproque avec Bernard de faire nous aussi "un bouquin, mais de vieux" (la petite jeune sur la dédicace de Blitz 1 -m'a gentiment ?- écrit "Robert / comme mon grand-père"!), bref ça commence à germer sérieux... On va attendre que ça pousse un peu plus!
Et puis, au courrier, une surprise de taille, une amie m'envoie un texte qu'elle a écrit , et le texte par lequel je lui avais répondu, en... 1978! Ca en fiche un coup, (gloups j'avais 22 ans!) mais bon ça a pas si mal vieilli je trouve...

270703b

18 octobre 2005

les gens absents (extrait)

"les gens absents,
c'est bien ça l'ennuyeux
ils tournent tout le temps
là devant vos yeux.
On croyait défaire l'étreinte d'un coup sec
et finalement, on se réveille avec...
Juste une question :
est-ce que ça dure toujours
ces manies qu'ils ont
de tourner autour ?
On parle en dormant
est-ce que c'est bien normal
les gens absents,
tout leur est égal."

(Les gens absents / F. Cabrel)

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